François DUFOUR

Découvert à MAC 2000 en 1988. Inqualifiable. Un somptueux travail du bois et de la terre polychrome. Des personnages de son Nord natal, en polémique permanente, faussement identifiés. Un travail long et douloureux. Présence permanente à la galerie.

Biographie François Dufour

Vidéo du sculpteur François DUFOUR  dont les œuvres sont présentes en permanence à la galerie.

https://vimeo.com/84223597

Barbotine en terre cuite émaillée : sculpture polychrome en céramique

Ces sculptures en barbotine sont issues d’un modèle sculpté à la main, puis moulé en plâtre, à forte épaisseur. Le moule vidé est retourné après séchage complet et le vide négatif est rempli de barbotine (de la terre avec beaucoup d’eau), la même terre que pour modeler à la main. Le moule est ensuite vidé de son excédent, laissant une fine pellicule de terre de 3 à 5mm. La sculpture est séchée et cuite à 1250°. Le moule ne peut supporter que quelques coulages. Chaque pièce peut être considérée comme pièce unique par le fait de multiples retouches. Un long travail de polychromie, d’émaillage est consacré à chaque pièce, émaillage traditionnel, nécessitant parfois plusieurs cuissons à 970°. Il n’existe pas deux émaillages identiques. L’aspect des tons différents rend chaque pièce unique en son genre.

Sculptures sur bois

François Dufour a fait de la sculpture sur bois son domaine de prédilection. Chaque sculpture est taillée d’un seul bloc de bois, puis peinte par polychromie. Il choisit des arbres de gros diamètres, d’excellente qualité pour la taille ; il dégrossit à la tronçonneuse et termine avec divers outils tranchants afin d’obtenir ces personnages à la fois réalistes et caricaturaux. Cette technique nécessite beaucoup de temps, de patience et une grande maîtrise.

Sculptures en terre cuite émaillée

Ces sculptures en barbotine sont issues d’un modèle sculpté à la main, puis moulé en plâtre, à forte épaisseur. Le moule vidé est retourné après séchage complet et le vide négatif est rempli de barbotine (de la terre avec beaucoup d’eau). Le moule est ensuite vidé de son excédent, laissant une fine pellicule de terre de 3 à 5mm. La sculpture est ensuite séchée et cuite à 1250°. Un long travail de polychromie, d’émaillage est consacré à chaque pièce. Il n’existe pas deux émaillages identiques, ainsi l’aspect des tons différents rend chaque pièce unique en son genre.

 

 

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