- VENDU
- Le bassin – Huile sur papier de 55x35cm
- Le panneau rouge – Huile sur toile de 146x114cm
- Atelier à Parme – Huile sur toile de 2016, 100x73cm
- VENDU
- Paysage de montagne – Huile sur papier de 55x35cm
- L’âtre – Huile sur toile de 2016, 116x73cm
- Les Cyprès – Huile sur papier de 55x35cm
Il est le petit-fils de l’écrivain suisse romand Léon Savary. Diplômé en histoire de l’art à la Sorbonne,[ ]il expose depuis 1988 dans plusieurs galeries parisiennes, en Suisse et aux États-Unis.
Présenté à la FIAC en 1993 et en 1995, il participe au mécénat Ebel Art et Culture en Suisse de 1990 à 1995 à Bâle et à la Villa Schwob et expose en 1989, 1991 et 1999 des portraits à l’Institut de France.
Ayant reçu de multiples commandes de la part d’entreprises telles que les montres Ebel (1990), le Champagne Dom Ruinart (1992), Natexis Banques Populaires (1999 et 2000) ou Tiffany & Co. (2012 & 2013), il a également peint le décor du Bourgeois Gentilhomme pour le Théâtre de Neuilly-sur-Seine en 1993.
En 2007, le Presbytère Saint-Jacques situé dans la ville de Bergerac en Dordogne lui a consacré une exposition rétrospective de 40 de ses œuvres.
Il est référencé dans le Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs d’Emmanuel Bénézit (Oxford University Press, 2010) et dans le Dictionnaire des Arts plastiques, modernes et contemporains de Jean-Pierre Delarge (Éditions Gründ, 2001).
Ainsi que le révèlent les noms de ses toiles, il trouve en grande partie ses thèmes favoris dans les intérieurs baroques où jouent corridors et miroirs (Bibliothèque et plafond bleu, Salon vénitien, Atelier jaune), sans aucune présence humaine, alors que celle-ci est sous-entendue, ou bien dans les paysages urbains où apparaissent, tels des mirages, tramways, trains ou camions (Camion jaune, Tramway à Lisbonne, Effet de gare).
Jean Arcelin confère souvent à ses tableaux un aspect presque irréel grâce à la recherche d’un certain flou, qui vient s’opposer à la réalité des sujets représentés. On remarque également l’importance de l’espace, traité par le recours aux lignes de fuite et valorisé par la mise en lumière.
Le dessin naît d’abord de la couleur. C’est aussi dans le traitement de la couleur, grâce à la matière elle-même et par l’amplitude de la palette – on a pu parler de jouissance chromatique – que réside la force de l’œuvre de Jean Arcelin.